Fêtes, spectacles, théâtre (Représentation 4)

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En des pages célèbres de sa Lettre à d’Alembert sur les spectacles, Rousseau traite avec une acuité remarquable des différences qui nous occupent : « Quoi ! ne faut-il donc aucun spectacle dans une république ? Au contraire, il en faut beaucoup. C’est dans les républiques qu’ils sont nés, c’est dans leur sein qu’on les voit briller avec un véritable air de fête. Mais quels seront enfin les objets de ce spectacle ?  Qu’y montrera-t-on ? Rien, si l’on veut. Avec la liberté, partout où règne l’affluence, le bien-être y règne aussi. Plantez au milieu d’une place un piquet couronné de fleurs, rassemblez-y le peuple, et vous aurez une fête. Faites mieux encore : donnez les spectateurs en spectacle ; rendez-les acteurs eux-mêmes ; faites que chacun se voit et s’aime dans les autres, afin que tous en soient mieux unis ».

Malgré l’emploi de mots qui ne sont plus les nôtres, nous comprenons que la fête demeure ici en deçà du spectacle, qui signifierait sa déchéance ou la tuerait. La fête mobilise et retient ses participants en deçà de la coupure sémiotique (coupure entre la scène et la salle, entre l’acteur et son personnage, entre le public passif et l’acteur actif…), en deçà donc d’une représentation toujours entamée par le risque de la répétition et de quelque télé-vision, alors qu’une fête est pure présence : coprésence des membres au groupe, présence à lui-même de chaque participant. La fête capitalise ainsi un paroxysme de direct, qui ne souffre aucune forme de différé, aucune différence entre ses acteurs ; ce qui se fête autour du piquet rousseauiste, réflexivement, autoréférentiellement, ce n’est aucun objet en particulier mais la mise en relation des sujets, leur narcissisme circulaire, leur manifestation : « Chacun se voi[t] et s’aime dans les autres ».

Fort de cette parousie intersubjective, Rousseau a beau jeu de lui opposer la déchéance des spectacles. Ces simulacres n’accèderont jamais à la présence pleine d’un épisode pour lui toujours vivace, qu’il se remémore et nous narre comme le modèle de la vérité ou le critère décisif en matière de représentation. Citons un peu plus longuement la Lettre à d’Alembert :

« Je me souviens d’avoir été frappé dans mon enfance d’un spectacle assez simple, et dont pourtant l’impression m’est toujours restée, malgré le temps et la diversité des objets. Le régiment de Saint-Gervais avait fait l’exercice, et, selon la coutume, on avait soupé par compagnies : la plupart de ceux qui les composaient se rassemblèrent après le souper dans la place de Saint-Gervais, et se mirent à danser tous ensemble, officiers et soldats, autour de la fontaine, sur le bassin de laquelle étaient montés les tambours, les fifres et ceux qui portaient les flambeaux. Une danse de gens égayés par un bon repas semblerait n’offrir rien de fort intéressant à voir ; cependant l’accord de cinq ou six-cents hommes en uniforme, se tenant tous par la main, et formant une longue bande qui serpentait en cadence et sans confusion, avec mille tours et retours ; mille espèces d’évolutions figurées, le choix des airs qui les animaient ; le bruit des tambours, l’éclat des flambeaux, un certain appareil militaire au sein du plaisir, tout cela formait une sensation très vive qu’on ne pouvait supporter de sang-froid. Il était tard, les femmes étaient couchées ; toutes se relevèrent. Bientôt les fenêtres furent pleines de spectatrices qui donnaient un nouveau zèle aux acteurs : elles ne purent tenir plus longtemps à leurs fenêtres, elles descendirent ; les maîtresses venaient voir leurs maris, les servantes apportaient du vin ; les enfants même, éveillés par le bruit, accoururent demi-vêtus entre les pères et les mères. La danse fut suspendue : ce ne fut qu’embrassements, ris, santés, caresses. Il résulta de tout cela un attendrissement général que je ne saurais peindre… »

Le détail de cette manifestation intéresse de près notre propos, et indique en passant que la fête se réalise moins dans le spectacle, fût-il de la danse (qui laisse séparées la scène et la salle), que dans le bal : Elles descendirent… L’éclat vivant d’un pareil moment, contagieux et comme irrésistible dans le direct de la soirée, se transmet mal dans le différé du récit. Allergique aux corps intermédiaires, la fête ne s’archive pas, ne se télé-vise pas, elle s’enregistre et se peint à peine, la plénitude de son présent vivant ne se laisse pas entamer par le re de la représentation. Cette présence réelle de la fête la rapproche de la messe, qui prête au même débat : la représentation et la distance détruisent-elles la coprésence des fidèles et les vertus sacramentelles de leur contact physique ? Peut-on téléviser la messe ? Radiodiffuser une bénédiction ? Faxer l’hostie ? Ces questions se sont posées aux fidèles lors de notre récent confinement.

Un spectacle peut être vécu comme une fête mais, Rousseau y insiste, une fête ne se résume pas en spectacle. Celui-ci suppose en effet une séparation contre laquelle Guy Debord n’aura cessé de protester : « La séparation est l’alpha et l’oméga du spectacle (…) », qui distribue le sujet et l’objet du regard de part et d’autre d’une rampe, d’un cadre, d’une frontière sémiotique. On s’accordera avec Debord sur l’évidence que cette distance fonde le spectacle en général, avec cette réserve que les Situationnistes connotent celle-ci négativement comme aliénation, passivation, etc., alors qu’on peut souligner au contraire les bienfaits cathartiques, sémiotiques, symboliques de cet éloignement en général du théâtre des opérations. Il est essentiel au concept de théâtre de pouvoir répéter celles-ci (c’est son principe d’économie déjà mentionné), et pour cela de cliver l’objet du regard en personnage et en acteur, de sorte que ce qui arrive à l’un, par exemple la mort, ne saurait toucher l’autre.

Et c’est en quoi le spectacle n’est pas non plus le théâtre : son modèle serait plutôt l’arène des gladiateurs, la corrida, le match de foot ou de boxe, les numéros de cirque où ce sont les corps qui travaillent et se dépensent (trapèze, équilibrisme…) sans trucages – alors que ceux du catch, plus ou moins simulés, glissent au théâtre (« Chiqué ! »). Tout événement naturel (une tempête), toute action bien réelle peuvent ainsi se changer en spectacle, pour peu que des gens inactifs s’attroupent alentour, sans intervenir dans son déroulement : un incendie fait spectacle pour les badauds (non pour les pompiers), comme la ferraille tordue où agonise Lady Di pour les paparazzi (non pour le Samu). Ce sont les regardeurs qui font le spectacle, non ses acteurs de chair saisis « dans leur propre rôle ». Un coucher de soleil, une femme nue, un bel animal peuvent fixer durablement nos regards alors qu’eux-mêmes ne jouent pas. Artaud visait de même, avec son concept de la cruauté, le théâtre de l’événement réel, ou de la chose même, que quelques spectacles de la dépense physique accomplissent en allant jusqu’à l’accident ou la mort programmée ; au terme de la corrida, le taureau ne revient pas saluer.

Manet, Le Torero mort

De la fête au spectacle, puis du spectacle au théâtre, il est clair que le différé augmente. Toute présence réelle, nous l’avons vu, n’est pas expulsée du théâtre, qui ne manque pas de « bouger » à chaque représentation, portée par des acteurs qui payent physiquement de leur personne, et cette fraîcheur ou cette fragilité de l’énonciation théâtrale font précisément son charme. Il faut attendre le cinéma pour qu’un spectacle se stabilise pleinement dans la sémiosphère : des signes gravés sur la double piste de la pellicule, minutieusement filtrés et composés, on ne peut attendre nul changement dans le déroulement de l’action, nul « bougé » d’une projection à l’autre – sinon l’entropie naturelle au support. Avec le cinéma, la coupure sémiotique est totale, l’archive sans faille, l’univers de la représentation soigneusement scellé sur lui-même : rien ne peut arriver à l’écran.

La Rose pourpre du Caire (film dans le film)

Woody Allen a rebondi sur cette interdiction en en prenant le contre-pied, dans le cocasse scénario de La Rose pourpre du Caire, où l’on voit un acteur de film « planter » ses partenaires pour s’échapper dans la salle à la rencontre d’une spectatrice énamourée. L’accident qui affecte la projection du film enchâssé (lui-même intitulé La Rose pourpre du Caire) propose une amusante démonstration de sémiotique comparée, en situant dans une salle de cinéma une péripétie parfaitement contradictoire, mais toujours possible dans une salle… de théâtre !

5 réponses à “Fêtes, spectacles, théâtre (Représentation 4)”

  1. Avatar de m M
    m M

    Bonsoir, amis du blogue!

    « Non, il n’y a de pure joie que la joie publique, et les vrais sentiments de la Nature ne règnent que sur le peuple »

    Petite phrase extraite, en ce jour de fête, de la lettre mentionnée dans le présent billet.

    Un jour, près d’un ruisseau, je pensais à cette haute rêverie à la Rousseau dont parlait à la sirène, le physicien du lieu.

    Je n’avais pas entre les mains « La faute à Rousseau » et je ne suis pas tombé dedans.

    A chacun son piquet! Une partie de campagne sans tables pour se rencontrer et sans l’odeur du foin coupé qui s’exhale, n’est pas une fête dirait Jean-Jacques…Mais on peut tout de même faire chère lie…avec les moyens du bord en respectant la loi en vigueur.

    Ne pas suivre les généralités de premier aspect (Dixit G. Bachelard se référant à Monsieur d’Alembert, page 20 de « La formation de l’esprit scientifique ») et toucher quand même son public, fût-ce à distance.

    A chacun ses roses et sa manière de sortir du lot!

    Cela s’appelle peut-être l’imprévu… Monsieur Jean Jacques (sans trait d’union) vous en parlera mieux que moi, à toutes fins utiles!

    Belle et douce nuit

    M m

  2. Avatar de m
    m

    Bonjour!

    A la Trinité, on pourrait peut-être en ce dimanche, essayer d’aller plus loin…

    Puisqu’il est question de théâtre, peut-être, en ce « jour de fête », serait-il de bon aloi d’aller faire un tour du côté d’Eaubonne, là où s’est installée Sophie (Houdelot), l’amante de Jean-Jacques Rousseau…

    Cet homme qui aimait l’amour, s’il eût connu par je ne sais quel miracle de l’espace-temps, les livres de René Girard, aurait-il écrit dans ses Confessions que Mme Houdelot était l’unique amour de sa vie? Qu’en pensez-vous, Monsieur Bougnoux?

    Une correspondante, auteur d’une pièce de théâtre intitulée « E in + 1 = 0 » m’a offert récemment un beau livre de Philippe Sabres :

    « La lettre à Girardin (comment j’ai volé « Les Confessions »). Cette lettre tient à la fois du roman picaresque, philosophique, épistolaire. (Quatrième page de couverture)

    Ce livre se termine par cette phrase : « La servante a pleuré car c’est, disait-elle, l’ange qui venait chercher madame »

    Voyez ce qui se passe autour de nous…Est-ce à dire « de la démocratie » qu’elle n’est qu’ « art de la comédie »?

    Belle anagramme pour lire dans les pensées d’un peuple qui s’en balance complètement.

    Au bal masqué, ohé, ohé…

    Très bonne soirée à tous

    m

  3. Avatar de Cécile d’Eaubonne
    Cécile d’Eaubonne

    Bonjour aux passants du blog, et plus encore à vous EM,

    D’Eaubonne et de la visite de Jean-Jacques Rousseau …. qu’en dire ou lire ? “ Le journal de François* “ reprend quelques fragments de l’Histoire dans la Vallée de Montmorency. Car notre épistolier local s’applique à faire la promotion des recherches menées par “le Cercle historique d’Eaubonne et de Valmorency”.

    Pour moi, Jean-Jacques Rousseau fut surtout l’auteur génial des livres : “Émile, ou de l’Education et le Contrat Social “. Le contenu est- il encore d’actualité pour aujourd’hui ?

    Cher EM, vous évoquez plus prosaïquement la part intime connue ou sublimée de la vie de Jean-Jacques Rousseau en Vallée de Montmorency. Philosophe et aussi … l’homme amoureux de l’Amour, piètre amant, calamiteux père de famille. Etc … Mais revenons à ce qui nous est raconté, à moi et aux Eaubonnais qui l’entendent.

    Au cours du printemps 1757, alors que Rousseau est installé à Montmorency depuis un an, il s’éprend de Sophie d’Houdetot, elle-même installée á Eaubonne. Le philosophe genevois écrira dans ses Confessions que Mme d’Houdetot aura été “L’unique amour de sa vie”.

    Une romance pour le cœur fragile de Jean-Jacques ?
    Ma question déjà posée sur le blog demeure ! Qui aimons-nous lorsqu’on pense aimer ? Ah ! les mystères du cœur.

    Lisons la suite de l’historiette rapportée sur le 4ème de couverture de la plaquette de la pièce de théâtre : “L’homme qui aimait l’amour. Une saison dans la vie de Jean-Jacques Rousseau”.

    Quand on connaît les nombreuses affections féminines que Rousseau a pu connaître au cours de son existence, cet aveu ne manque pas de surprendre !
    Cette passion se focalise moins sur madame d’Houdetot que sur les élans amoureux que celle-ci manifeste à son amant le marquis de Saint-Lambert. Plus elle parle en termes enflammés de l’objet de son cœur, plus elle accroît la passion que Rousseau lui porte.

    Relation pour le moins curieuse et intrigante qui excitera la jalousie de madame d’Epinay, protectrice de Rousseau. Et madame d’Epinay d’éloigner un philosophe au cœur versatile et imprudent.

    Joli romance, vaudeville joyeux ou triste.
    Fête … Spectacle … théâtre dans l’existence d’un grand homme.

    Toujours merci à vous Daniel pour vos écrits qui me réjouissent.

    Bonne journée, sans confinement à chacun.

    * Journal gratuit sur Internet

  4. Avatar de M
    M

    Bonsoir à tous!

    Bien sûr, Madame d’Eaubonne, vous posez là, la vraie question…Et vous avez raison de la poser derechef. Cette question en appelle une autre : Quels sont les motifs cachés dans les conduites humaines en apparence les plus libres?
    Il est très clair que si réponse, il y a à votre question, c’est à notre Premier de cordée de bien vouloir nous la donner en cette difficile randonnée. Il a dans sa chemise, les richesses des livres, ceux de M. René Girard et de tellement d’autres…
    En attendant le retour du professeur émérite et de son intuition vraie qui sait, Madame, vous réjouir, imaginons!
    Peut-être, nous gratifiera-t-il, de quelques extraits des pièces de vers de Madame Elisabeth-Françoise-Sophie de la Live de Bellegarde, que recèle la Notice de Victor Donatien de Musset-Pathay!
    Quid de l’expérience d’icelle, Comtesse d’Houdetot (Houdelot, selon la Chronique de l’Histoire de France (version Internet) de Louis-Henri Fournet – Journal du Consulat et du Premier Empire), à l’heure des « Z’amours », émission regardée par des millions de gens, assis devant leur poste de télévision?
    En cet agrégat de mensonges et de vérités, l’esprit peut-il encore nous toucher?
    Monsieur Daniel, plantez ici votre bâton de marche et éclairez-nous!
    Alors, entrons dans la danse et que la fête commence, palsambleu!

    M

  5. Avatar de m
    m

    Post -scriptum nocturne :

    Monsieur Daniel Bougnoux, notre randonneur comme éclaireur, disais-je!
    Oui, pourquoi pas?
    Argumentons un peu tout simplement par une citation du livre d’Edgar Morin « Le vif du sujet » Seuil, Points, page 291 :
    « La réforme de l’enseignement appelle une gigantesque réforme des structures mentales, une révolution néo-copernicienne-einsteinienne du système de pensée. Cela renvoie, non seulement aux problèmes politiques et sociaux et une fois encore à la totalité du corps social, mais à la transformation radicale de la classe enseignante, devenue classe petite-fonctionnaire, et qui, retrouvant sa vocation missionnaire avec les nouvelles humanités, pourrait jouer à nouveau un rôle éclaireur (Aufklärer) dans la société.
    Qui éduquera les éducateurs? A nouveau la question-riposte de Marx à Feuerbach est posée. A nouveau nous retrouvons le nœud gordien des problèmes humains. Mais de toute façon, il est clair que c’est dans l’intelligentsia, et particulièrement dans la classe enseignante même, que pourrait être amorcée la révolution du nouvel Émile. »Fin de citation)
    Ce beau livre a été écrit en fin mil neuf cent soixante-huit et six ans plus tard, un homme de la République des Lettres au pouvoir, en appelait à quelqu’un pour trancher le nœud gordien des problèmes humains. Michel Serres est passé par là pour délier la chose et on attend toujours les noces transcendantales de l’espace et du temps pour voir se réaliser, un jour ou une nuit, tel miracle, à la table des liquides.
    Bâton de Moïse ou baguette de fée, à vous, cher Maître, de faire jaillir l’eau bonne et pure du rocher!
    Jour de fête. Cela me rappelle un titre quelque part…
    Cela me rappelle aussi mon courrier posté le 2 juin dernier, au Centre postal de ma ville. Un petit colis destiné à un numéro précis de l’avenue du Comtat d’une petite cité située dans une enclave en territoire vauclusien. Distrait et bête comme mes pieds, j’ai omis de l’envoyer avec numéro pour suivi…En ce temps-là, quinze jours pour acheminer une lettre entre deux lieux distants de vingt kilomètres et une petite carte pourtant bien adressée qui me revient après son envoi en fin d’année dernière.
    A bicyclette comme Tati, j’aurais peut-être mieux fait, bonnes gens!
    Du temps de la via romana, les missives circulaient à une moyenne de cent kilomètres par jour, selon François-Bernard Huyghe qui voit dans Tati, un facteur transcendé par sa dignité de révélateur d’âmes. (Médium, n° 4, pages 39 et 40) Le titre de son article me fait penser à ce que m’écrivait, un jour, son père dans une épistole conservée dans un bonheur-du-jour. Je n’en dirai rien car il me faudrait parler de moi et ça ne m’intéresse pas!
    Puisque nous sommes dans la revue autant frapper au n° 10 et demander Monsieur le Rédacteur en Chef, dont nous connaissons le métier.
    Et notre homme, céans, de nous parler finalement d’un paradoxal retour au direct avec son Cyrano à la lettre et au chapitre des mêmes « Symptômes » de renchérir sur le texte des « Liaisons dangereuses ». Saviez-vous, Monsieur le Rédacteur en Chef, en ce premier trimestre deux mille sept, que « Les liaisons dangereuses » avec leurs vingt-deux lettres forment la belle anagramme que voici : « les ailes sanguines d’Éros »?

    Lumière, s’il vous plaît!

    m

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À propos de ce blog

  • Ce blog pour y consigner mes impressions de lecteur, de spectateur et de « citoyen concerné ». Souvent ému par des œuvres ou des auteurs qui passent inaperçus, ou que j’aurai plaisir à défendre ; assez souvent aussi indigné par le bruit médiatique entretenu autour d’œuvres médiocres, ou de baudruches que je…

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À propos de l’auteur

  • Daniel Bougnoux, professeur émérite à l’Université Stendhal de Grenoble, est ancien élève de l’ENS et agrégé de philosophie. Il a enseigné la littérature, puis les sciences de la communication, disciplines dans lesquelles il a publié une douzaine d’ouvrages.

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